Tentant de l’aborder avec malice et légèreté, mon travail s’articule sur les écrans et leurs conséquences néfastes sur la santé publique :
Omniprésents dans nos vies, les écrans rythment nos quotidiens et nous assujettissent. Celui que je présente réside au milieu de la pièce et la divise, il apparait comme une fracture et suggère l’idée d’un portail dont l’on ne pourrait revenir.
Il attire par son rayonnement et nous révèle un être morcelé aux reflets perdus dans des mondes dont les dimensions ne cessent de se rallonger, nous enfonçant toujours un peu plus loin de la réalité.
Trying to approach it with malice and lightness, my work revolves around screens and their harmful consequences on public health :
Omnipresent in our lives, screens punctuate our daily lives and subjugate us.
The one I present resides in the middle of the room and divides it, it appears like a fracture and suggests the idea of a portal from which one cannot return.
It attracts by its radiance and reveals to us a fragmented being with reflections lost in worlds whose dimensions never cease to lengthen, pushing us always a little further from reality.